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LEPOWEB
"Je veux dire quil ne tient quà toi de vérifier si les aptitudes de ton corps correspondent aux descriptions quen fait la comtesse du Barry." "Tu nes pas gêné, je vois très bien où tu veux en venir, petit vicieux." "Vicieux, non, curieux, simplement curieux de prouver que ma découverte est exacte." "Oui, je vois, cest le professionnel qui parle." "Dune certaine manière oui, et puis dune autre reconnais que cest quand même une découverte très excitante, aussi bien pour toi que pour moi." "Excitante est bien le mot" dit Marie, remarquant sous la ceinture, une bosse se former dans les plis du pantalon de Marco, venu sasseoir prés delle. "Il est bien écrit plus large de fesses que de ventre, il serait bien je crois de vérifier, tu ne crois pas, allez ne soit pas farouche, montre-moi un peu ces fesses !" Marie rougit, mais se lève et doucement soulève sa longue jupe jusquà lapparition de son majestueux globe lunaire recouvert dune fine culotte blanche. Marco en tombe à la renverse, cest trop beau, dit-il, splendide et dune main il retient la jupe tandis que lautre glisse sur la croupe offerte. Il caresse, tâte, pelote les fesses, en parcours toute létendue, toute la masse, en épouse les contours, glisse par-dessus, les soupèse, Marie se baisse encore plus, elle sabandonne, Marco lui relâche sa jupe qui tombe sur ses épaules, des deux mains il tripote, caresse, froisse la culotte, la tire et la fait glisser le long de la raie qui sécarte pour mieux avaler le tissu soyeux. Marie, sous les caresses, commence à se trémousser, elle se contracte, sépanouit, souvre, se ferme, se lève, sabaisse, se couvre par instants de chair de poule, ses reins se creusent, sa croupe épanouie semble électrisée par le souffle de Marco qui sest rapproché, la bouche ouverte prête à mordre. Mais dun mouvement du bras il encercle la taille de Marie et pesant sur elle loblige à mieux se courber entraînant par réaction une saillie plus prononcée du séant. Attrapant lélastique du slip, il tire celui-ci vers le haut. La fine étoffe senfonce alors plus profondément entre les fesses faisant mieux ressortir les deux globes de porcelaine. Marie aussitôt écarte les cuisses, entre les plis de sa culotte apparaissent les poils de sa toison, Marco nen peut plus, il la fait glisser sur le canapé et plonge sa tête entre sa raie, écartant ses fesses des deux mains, il la lèche, la mordille, lembrasse, de son petit trou luisant jusquà sa chatte trempée. Marie, le visage dans les coussins du canapé, ronronne, gémit, remue sous les coups de langues, excitée au plus haut point elle creuse ses reins, écarte encore plus ses cuisses, il lui baisse doucement la culotte, son cul alors sétale, révélant ses mystères, son orifice si menu sous lequel sallonge la vulve entrouverte embroussaillée de poils noirs.
Marco la langue dardée salive tous les creux, les sillons et les orifices, ses doigts remplaçant parfois sa langue, il découvre avec délectation que les muscles de son vagin et de son petit cul répondent bien à la description de la du Barry. Ouvrant sa braguette il libère son pénis qui aussitôt se cabre de plaisir. Il le tend entre les fesses de Marie, puis le fait glisser lentement jusquà lentrée de sa chatte trempée, il ne la pénètre pas, non, cest Marie, sa chatte dilatée, épanouie qui lavale tout entier. Son cul bien écarté laisse apparaître un il sombre et brillant de salive qui semble inviter Marco à ne pas le laisser frustré dune visite. Il nattendit pas et après sêtre humecté lindex, il lapprocha et lenfonça doucement entre les fesses de Marie qui le corps parcouru de mille frissons sabandonna à un va et vient effréné. Submergés par tant de volupté leurs jouissances se confondirent en un même râle de plaisir. Voulant prolonger un peu cette extase inattendue et néanmoins secrètement espérée, Marie, en contractant ses muscles retint Marco en elle, il seffondra sur elle et lembrassant dans le cou, lui susurra à loreille : "Maintenant jen suis sûr la comtesse ne sétait pas trompée, et tu es bien la plus belle réincarnation de sa Marie." "Peut-être, mais je crois quil faudra encore me le prouver." Répondit Marie, le sourire aux lèvres.
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