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LEPOWEB
Viens Tino, dit Alberto, nous avons une cliente en difficulté et il faut toujours satisfaire les clientes. Surtout quand elles sont chaudes comme madame, répond Tino. Oui, cest ça, il faut lui refroidir le moteur, dit le mécanicien qui derrière les épaules de Alexandra descend les mains vers ses fesses. Putain, tas vu ça comme elle belle, dit Alberto à Tino, viens voir ça ! Et saisissant la petite culotte en soie noire, il la baisse doucement le long des cuisses de Alexandra qui ferme les yeux.
Regarde, regarde cette chatte ! Regarde, vas-y mets ta main Tino, nest pas peur, tu va voir la dame est très gentille. Le jeune Tino sapproche, tâte, fouille, caresse, se met à genoux, écarte les cuisses d'Alexandra qui semble seffondrer, mais le mécano derrière la retient par les seins quil palpe, malaxe. Alexandra rejette sa tête en arrière, à présent totalement offerte, son ventre rebondi se durci, ses cuisses largement écartées frémissent. Alberto lui soulève une jambe, la dépose sur lépaule de Tino, puis lautre, elle ne touche plus terre et sa chatte toute entière cache le visage du jeune Tino qui ne cesse de la laper et de lui sucer le clitoris. Alberto sest allongé sous Alexandra, il regarde, admire, lui écarte les fesses, lui effleure lanus. Le cul de la Madame est magnifique, dit-il. Peut-être quil a besoin dune révision, dit le mécano. Ah oui, tu crois, répond Alberto qui aussitôt se saisit dun bidon dhuile par terre à coté du bureau, dévisse le bouchon et trempe un doigt dans le bidon. On va voir ça, dit-il et doucement, délicatement, enfonce son doigt dans lanus écarté. Maria nen peut plus, elle gémit, se tord, le plaisir monte, lenvahit. Ne vous inquiétez pas Madame, cest de la bonne huile, de la super, cest pour les gros moteur, les gros culs comme on dit dans le métier, et il accélère le va et vient, pendant que Tino enfonce sa langue dans le vagin, le plus profond possible, il sue, tout le poids de Alexandra repose sur ses épaules et il commence à fléchir. Alberto se dégage et la soulève, tous les trois ils la déposent sur le sol. Alexandra les yeux fermés, la bouche ouverte comme cherchant plus dair, sest totalement abandonnée. La nuit à présent a envahi le garage, il fait sombre, mais encore chaud, lourd, très lourd et trois bites bien droites, gorgées de sève se pressent contre elle. Une entre ses seins, une sur ses cuisses et une autre sur son visage. Les odeurs se mélangent, lhuile, le cambouis, lessence, la sueur, elle a chaud, de plus en plus chaud. Soudain, elle tremble, sursaute, du coca glacé sécoule sur ses lèvres, elle boit, cest bon, très bon, le liquide se répand sur ses joues, sur son cou, sur ses seins, entre ses cuisses, une langue senfonce dans sa bouche, une autre lui suce les seins et une autre lape le coca qui sinfiltre dans sa chatte. Alexandra remue, se soulève, elle voudrait hurler. Des mains la pressent, la caressent, lécartent, ils la retournent, de lhuile se répand sur ses fesses, sinsinue dans le sillon quils écartent. Lhuile perle autour de son anus aux reflets de miel et sinfiltre entre les poils de sa chatte dégoulinante. Un doigt, deux doigts dans son vagin, un autre dans le cul, dautres doigts sur son clitoris, ça glisse, son corps entier se couvre dhuile. Soudain elle ne sait plus si ce sont encore des doigts ou bien des bites qui la pénètrent en même temps. Cest bon, si bon quelle jouit, non, elle explose, encore et encore, elle nen peut plus mais en redemande, encore, elle supplie, oh oui encore ! Venez Madame, dit Alberto, une bonne douche nous fera du bien à tous. Oh oui, dit Alexandra. Leau fraîche, le savon, le jet de la douche, les six mains qui la massent et sintroduisent partout, elle sabandonne, elle dit oui, oui, non, elle ne sait plus, elle sagenouille, une bite dans sa bouche va et vient, elle branle les deux autres qui lui caressent le visage, leau ruisselle entre ses mains, sur ses joues, entre ses lèvres, ça coule, ça gonfle et puis soudain ça gicle de partout, de leau, du sperme, tout se mélange, elle se caresse, se lave, se redresse, sappuie contre le carlage frais et reprend son souffle, elle est épuisée mais tout son visage, ses yeux resplendissent, on dirait du bonheur. Réparation faite, elle reparti dans la nuit, fatiguée, endolorie mais calme et sereine, appuyant sur la cassette de lautoradio elle se remit à fredonner le tango quelle navait pas fini découter et songeuse se dit que si souvent les pannes sont désagréables, celle quelle venait de connaître était la plus délicieuse et que des pannes comme celle là bien des femmes en rêveraient.
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