LEPOWEB



EROS


" Je crois qu’il faudrait changer de position, regardez ses pauvres petits seins tout écrasés sur la table" dis-je à nos amis. Tout le monde se dégagea doucement et Sylvia put se relever et se retourner, faisant apparaître ses deux beaux seins gonflés de désir sur lesquels nous nous précipitâmes. Julien demanda "Qu’est-ce que c’était cette délicieuse sauce avec le matambré ?" "Le chimichuri, il est là, regarde il en reste" lui dis-je en lui désignant la bouteille sur la table. Il s’en saisit et commença à le verser goutte à goutte sur la pointe des seins et sur le ventre de Sylvia, et tous les trois en même temps on se mit à l’embrasser, à la lécher, à la mordiller. Elle se soulevait, se cabrait de plaisir. "Ah ! c’est bon ! Ah ! oui". Nos mains se mélangeaient sur son corps tâché d’huile et d’épices, que nous massions dans tous les sens et partout à la fois.

"Prenez-moi tous les trois" dit-elle d’une toute petite voix timide.

Cette petite phrase eut l’effet d’une bombe. Je la pris par la main et l’emmenais sur le tapis du salon. Aussitôt dit, aussitôt Juan s’allongea par terre, "Je veux son cul" dit-il, "Et moi sa chatte" dit Julien "Et bien il me restera ses seins et sa bouche" répondais-je. Alors, la saisissant par-dessous les bras, je lui pétrissais les seins et la fis descendre doucement jusqu’à l’extrémité de la verge de Juan qui bandait comme un gaucho, Sylvia se saisissant les fesses, se les écarta, Juan guida son engin au bord de l’orifice et commença à la pénétrer. Sylvia émit quelques petits cris puis se mit à gémir "Oh ! oui, oh ! oui, oui, doucement, encore, doucement" et se laissa tomber sur lui. Aussitôt je me mis à genoux en écartant les jambes au-dessus de son visage, elle put ainsi avec sa langue me lécher la verge, les couilles et le cul pendant que je lui triturais ses tétons. Julien lui, n’en pouvait plus, il lui souleva les jambes et d’un coup lui pénétra la chatte.

Une forte secousse ébranla tout le corps de Sylvia, quel spectacle ! Trois bites en même temps qui allaient et venaient, ça bougeait, ça tanguait devant, derrière, dans la bouche pendant que ses seins étirés ballottaient au bout de mes doigts !

Soudain il y eut comme un râle de fauve et presque tous les trois en même temps nous déchargeâmes notre vague de sperme. Sylvia disloquée, lâcha une longue plainte "Ah ! , ah ! que c’est bon, que c’est bon"

Juan se releva et dit à Julien "Alors, je te l’avais bien dit que c’est Sylvia qui fait le mieux la cuisine argentine, hein n’est-ce pas !". " Ah ça oui alors, elle est géniale, je m’en souviendrais de ce repas argentin !"

Il était tard, nos deux amis nous quittèrent, je finis de débarrasser la table, tandis que Sylvia allait prendre une bonne douche réparatrice de tous ses efforts. Je la rejoignais dans notre lit et l’embrassant tendrement je lui dis à l’oreille "Sais-tu que je suis de plus en plus amoureux de toi ?".

"Oui je le sais mon amour, heu, je veux dire mon salaud, en tous cas la cuisine argentine c’est fini, tu entends c’est fini !"

" D’accord mon amour, alors la prochaine fois on mangera chinois"

"Ah ! Oui pourquoi pas" me dit-elle en me mordant les lèvres.



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