LEPOWEB



EROS

 

Qui est-ce ? Dit Eléonore, surprise, voulant se retourner.

Une surprise, mon amour, un petit cadeau pour ton anniversaire.

Mais elle n’a pas le temps de répondre, M’ba s’est mis à la lécher comme un chien sa chatte écartée, tout en massant son clitoris, avant de remonter jusqu’au trou du cul, qu’il lèche de la même façon. Eléonore commence à gémir sans pouvoir se contrôler, et à tendre son cul plus fort, contre le visage de M’ba, contre sa langue, que M’ba introduit lentement dans l’anus, puis retire.

Fatigué de tenir l’équilibre sur son dos, je me laisse tomber d'Eléonore et me couche sur le dos, mettant la tête de M’ba devant le cul d'Eléonore et devant ma queue bien raide. Sans rien dire, il me saisit la bite et se l’introduis dans la bouche, me branlant tandis qu’il me suce le gland. J’attire Eléonore vers moi, l’embrasse à pleine bouche, la léchant, écrasant ma langue contre la sienne, l’enfonçant plus loin, aussi profondément qu’elle puisse aller dans sa gorge. Elle se doigte la chatte, si mouillée que l’on dirait que tout le haut de ses cuisses est enduit d’une substance huileuse, luisante.

Je repousse la tête d'Eléonore, pour qu’elle aide M’ba à me sucer, et tous deux me sucent tour à tour le gland et la queue.

À un moment leurs deux bouches se rencontrent et sans même se présenter, ils s’embrassent à fond juste au-dessus de ma bite qui les effleure.

Je me redresse, attrape Eléonore par la taille, la soulève, met son sexe à la hauteur de mon visage, sur lequel elle s’assoit avec reconnaissance. Mouillé, dilaté, le clito gonflé, gorgé de sang, sa chatte est à présent au-dessus de moi, et j’y plonge mon visage, ma langue, me régalant de son goût, tout en lui effleurant l’anus.

Les doigts d'Eléonore pendant ce temps ont saisit la queue sombre et bien bandée de M’ba, de ses lèvres elle l’a décalottée et à présent elle lui suce le gland rose et lisse prêt à jaillir. M’ba lui s’acharne sur ses seins qu’il a pris à pleines mains, et il lui triture, les secoue, les pince, les caresse, les malaxe.

Soudain, retirant la bite de M’ba de sa bouche, Eléonore la saisit à pleines mains et se caresse le visage avec, puis descend à ses couilles gonflées, grosses comme deux petites prunes, et se met à les lécher, avant de les avaler entièrement et de les masser, de les sucer alternativement, une à une, les séparant avec sa langue. Puis remontant en léchant son corps jusqu’à sa bouche, Eléonore regardant M’ba, dit essoufflée : Baise-moi, maintenant, viens ! Et se dégageant de mon visage, elle se retourne, se met à quatre pattes, soulevant son cul le plus possible, passant sa main par en dessous elle s’écarte la chatte. M’ba s’en attendre la pénètre doucement, Eléonore me saisit la verge entre ses lèvres et commence à la glisser au fond de sa bouche. M’ba accélère, je me redresse pour voir ce magnifique tableau, la bite noire, bien droite s’enfonçant entre les fesses blanches de Eléonore qui remue de plus en plus, mais déjà je n’en peux plus et je jouis dans sa bouche, manquant de s’étrangler elle me relâche le sexe pour mieux tout avaler et finir de me lécher le reste. M’ba semble vaciller, Eléonore râle à présent, oh oui, oh oui, oui, c’est bon, c’est bon, ça y est il décharge, Eléonore tremble de plusieurs secousses, elle jouit et l’orgasme la fait se tordre, se contracter, palpiter et gémir doucement, Oh que c’est bon, que c’était bon !

C’était bien ma chérie ?

Oh oui !

Bon Anniversaire Madame, dit M’ba en se retirant lentement d’entre les cuisses de Eléonore.

Merci répondit Eléonore en me mordillant les lèvres.

 

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