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LEPOWEB
Bon anniversaire ! Après un long silence, tenant dans ma main un sein tiède et ferme, je déclare : je veux te laver le sexe. Eléonore me dévisage, et son regard à cet instant est celui dune gamine qui rougirait si elle ne me connaissait depuis si longtemps, puis elle baisse les yeux sur son corps qui baigne dans leau bleue de son bain, et glisse une main vers les poils bruns et touffus, sous son ventre rebondi, écartant légèrement les jambes. Non, dis-je calmement. Par-derrière. Mets-toi à genoux, je veux regarder. Tu es si belle. Elle se retourne et se met à quatre pattes, le cul hors de leau, tandis que je rejoins lautre bout de la baignoire pour mieux voir sa chatte, quelle tripote dune main savonneuse. Je glisse ma main par-dessus son poignet, jusquà son anus que jenduis doucement dune goutte dhuile de bain. Il se contracte ; elle pousse un soupir. Jôte mon doigt pour le glisser dans son sexe, en dessous, et nos doigts entrent, ressortent ensemble, entrent à nouveau. Elle est trempée à lintérieur, et jen profite pour remonter jusquau petit trou, dans lequel jenfonce mon doigt sans difficulté, jusquà la jointure. Elle se contracte, deux fois, et se tend, recule sur mon doigt, sans cesser de se toucher le clitoris qui clapote dans leau. Nous continuerons ainsi un moment, jusquà ce que quelquun frappe à la porte. Je dis à Eléonore de sortir du bain, de prendre un peignoir et daller mattendre dans la chambre. Il a certainement vingt ans, en tenue de sport, noir, non plutôt terre de sienne brûlée, des yeux clairs et une voix très douce. Je viens pour la pizza que vous avez commandée. Ah oui, entrez. Mon esprit est soudain traversé par détranges idées et hésitant je me lance. Voilà, dis-je, en lui prenant sa pizza, vous avez besoin dargent et je peux vous faire gagner un bon pourboire sans trop vous fatiguer. Étonné, il me regarde, bafouille un peu : Ben, heu oui, pourquoi pas, quest-ce que je dois faire ? Voilà, je voudrais faire une surprise à ma femme, comme un cadeau, cest son anniversaire, vous comprenez, elle est dans son lit, elle mattend, nous pourrions la rejoindre ensemble, vous verrez elle est belle, et puis baiser un petit coup ça fait pas de mal. Ah, oui, pourquoi pas, cest une blanche votre femme. Oui, une belle brune, chaude et puis elle aime les beaux noirs comme toi. Elle sappelle Eléonore et toi ? Mba, je suis sénégalais. Bien, tu vas dans la salle de bain, tu te laves et je viens te chercher. Quelques minutes plus tard, il ressort, une serviette de bain autour de la taille. Ses muscles saillants dun brun luisant lui dessinent un corps parfait. Ne faites pas de bruit en entrant. Maria est allongée, dans lobscurité, sur le ventre. Qui cétait ? Dit-elle. Rien, dis-je en me déshabillant et en la chevauchant, masseyant sur son dos délicatement, ma queue à moitié raide, face à notre ami Mba qui regarde le cul offert d'Eléonore dun air déterminé et curieux. Avec mes deux mains je soulève les fesses et maintiens la chatte et le cul bien ouverts. De la tête je fais signe à Mba de sapprocher, de venir voir, de renifler, de sentir. Mba a maintenant le visage à la hauteur du sexe d'Eléonore, que je doigte vaguement, et il se rapproche encore, pour quil vienne sentir mes doigts, que je lui fourre dans la bouche et quil suce goulûment. De lautre main je continue de masser la chatte lourde, mouillée, trempée sous lanus dilaté. Vas-y, dis-je à voix basse, lèche !
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