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LEPOWEB
Afin davoir une meilleure vue de la scène, Juan et Julien sétaient agenouillés derrière elle à ses pieds et, le visage à quelques doigts de la chatte de Sylvia, ils buvaient littéralement des yeux le spectacle merveilleux ainsi offert à leurs penchants érotiques. Sylvia sentait leurs deux souffles rapprochés lui caresser lintérieur des cuisses et déjà frémissante, cela lexcitait davantage et elle commença à remuer les fesses. Pendant que Juan et Julien se déshabillaient, je me mis à genoux et commença à lui lécher la raie de la chatte à lanus, puis Julien sapprocha du visage de Sylvia, lui caressa les cheveux, posa sa verge en érection sur le rebord de la table et lui rapprocha la tête près de son gland, ses lèvres déjà entrouvertes ne résistèrent pas et elle ne fit quune bouchée de cette bite amicale. "Dis-moi, avec quoi elle fait les empanadas ?" Me demanda Juan. "Avec de la graisse de buf" lui répondis-je. "Il en reste ?". "Oui à la cuisine". Et Juan alla en chercher, quand il revint, il en pris un petit bout entre ses doigts et commença à caresser lanus de Sylvia qui la bouche pleine ne pouvait rien dire, mais aux mouvements de ses jambes et de ses fesses nous comprîmes sa surprise. Lui léchant le clitoris, des deux mains je lui écartais en même temps les fesses. Juan put ainsi mieux lui enfoncer délicatement lindex enrobé de graisse blanche. Dilaté, son petit cul commença à remuer de haut en bas, accompagnant ainsi ma langue de son clitoris à son vagin dans lequel mon nez senfonçait à chaque va et vient. Me redressant pour reprendre ma respiration et me déshabiller, Juan en profita pour prendre ma place et ajuster sa verge à la chatte baillante et suintante de salive. Doucement il la pénétra tout en gardant son doigt à demi enfoncé dans lanus parfaitement lubrifié. Pendant ce temps Julien allait et venait dans la bouche de Sylvia, sa verge, dune taille appréciable épousait parfaitement le contour de ses lèvres. "Alors tu laimes mon matambré !" Lui dit-il. "Hum ! , hum !" répondit Sylvia. "Attends un peu, dis-je à Julien, elle va adorer" et sur la table je saisissais le bol de dulce de leche, dans lequel je plongeais ma queue. "Faisant autant, tu vas voir, elle adore ça" et pendant que je tendais le bol à Julien je le remplaçais. Aussitôt Sylvia me lécha goulûment, mavalant la bite entière. "Tu vois je te lavais dis" et Julien à son tour approcha sa verge contre la joue gonflée par la mienne. Sylvia se dégagea un peu et commença avec sa langue à passer dune verge à lautre. Pendant ce temps Juan lembrochait gentiment.
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