LEPOWEB



EROS


Un repas argentin

La soirée avait bien commencé, Juan et son ami Julien avaient merveilleusement appréciés le repas argentin que Sylvia avait préparé, empanadas, matambre avec du chimichurri, alfajores. Le bordeaux était délicieux et Sylvia rayonnante dans son ensemble noir au décolleté juste assez profond pour laisser deviner des seins fermes et généreux.

Je débarrassais la table quand en soulevant l’assiette de Sylvia, je cognais son verre qui se renversa sur la table et coula aussitôt vers elle pour venir se répandre sur sa robe. Je pris aussitôt de l’eau et une serviette pour nettoyer la tache de vin. "Laisse, je vais le faire me dit-elle"

Et elle commença à frotter la tache qui se situait juste en dessous de son ventre.

"Je crois qu’il vaudrait mieux enlever la robe, ça serait plus facile" dit Julien.

"Ça va pas, non" répondit Sylvia. "Mais si, mais si" renchérit Juan.

" Elle est timide, elle n’ose pas, peut-être faut-il l’aider" dis-je.

Et passant derrière elle, je l’embrassais dans le cou pendant que je lui saisissais les bras. "Allez-y, je la tiens, enlevez lui sa robe, vous en avez tellement envie". "Arrête, Jean , arrête, c’est pas drôle, je... " Mais elle n’avait pas fini sa phrase que Juan lui soulevant sa chemise, déboutonnait sa robe et la laissa glisser le long de ses jambes. Stupeur et admiration ! Elle ne portait pas de culotte. "Génial" dit Julien se précipitant pour admirer la scène. Sylvia se débattait mais comme je lui mordillais le cou et les épaules, elle commençait à faiblir et même à pousser de petits gémissements. Je la poussais vers le rebord de la table et la prenant par les épaules la renversa sur le carrelage frais et bleu, puis prenant ses jambes je les écartais.

Dans cette posture qui l’écartelait avec une rare obscénité, Sylvia montrait toute son intimité aux regards brillants de nos deux amis.

Son sexe parfaitement ouvert au-dessus de la toison frisée, découvrait la chair rose et humide de la vulve que le vin avait trempée. Entre ses bonnes grosses fesses ramenées vers l’avant par la position du bassin, l’anus ressortait comme une minuscule petite tache étoilée d’une jolie nuance rose pâle.

Je plaçais aussitôt une main sur la chair entrouverte et je me mis à caresser avec délicatesse la tendre crête rosée qui saillait à la commissure des deux grosses lèvres. Puis dans un petit mouvement circulaire à peine esquissé, mon majeur commença à frictionner et à titiller son clitoris durci et congestionné.

La vulve devint plus humide et le doigt branleur se servit d’un peu de cette tiédeur mouillée pour rendre plus douce et plus glissante sa tendre caresse.

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TABLE DE LA MATIÈRE